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Et si les chipies et les chenapans avaient leur propre dieu, imaginez ce que ça pourrait donner.
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J'avais rendez-vous chez Monsieur Fessonantes,
Pour y recevoir une fessée bien raisonnante.
Mais avant de me sanctionner
Monsieur devez voir le curé.
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Quand la justice interrompt le bon déroulement de mes espiègleries, je ne peux le concevoir comme tel. Sérieusement, c'était mignon ma vidéo de Miguel de l'As de la jungle. Parce que c'est vous, je vais vous la mettre ici dans le chapô.
C'était tout mignon tout plein. Mais voilà, ce que je ne savais pas, c'est que les fesseurs n'ont pas du tout d'humour. Vraiment ça va faire de mauvais vieux, sérieux. Mais mon avis n'a pas été sollicité, et la sanction est tombée :
Micaiah
Pour le coup tordu de cet après-midi qui est l'aboutissement d'un attitude générale pour le moins désordonnée je me vois contraint de t'infliger une punition
Tu me feras une rédaction (2 pages maxi) sur la description d'une fessée et de ses bienfaits
avec intro , développement , conclusion
Monsieur fessonantesVoici donc ma rédaction, dont je suis fière, mais est-elle à la hauteur ?
Nota : j'ai recommencé cette punition, la première version m'a été fortement déconseillée, mais vous la trouverez ici.
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Merci à mike fikçion
pour m'avoir autorisée à publier son dessin
Grand frère est convoqué,
Par ses fesseuses bien aimées.
Il n’est pas très rassuré
Car des bêtises il en a fait.
Alors qu’il pensait s’amuser
A titiller fesseurs et fessés,
Il reçut sa convocation,
Pour une véritable punition.
Grand-frère moins pétillant,
Lu le message en se plaignant.
« Je suis innocent, j’avais rien fait !! »
Gémissait-il à l’imparfait[1].
Mais rien n’y faisait,
Ses fesseuses étaient déterminées.
Et pour qu’il ne puisse l’oublier,
Elles ne cessaient de répéter.
« Tous les instruments achetés,
Seront sur tes fesses, utilisés.
Ne compte pas sur notre clémence,
Si tu dis stop on recommence. »
Les paroles l’avaient marqué
Et une boule au bas du ventre se former.
Lui qui l’avait tant rêvé,
Aller enfin être fessé.
Afin de s’assurer
Que rien n’avait été oublié,
Tous les soirs il s’acharnait,
A rappeler ses méfaits.
Sagement ses fesseuses l’écoutaient,
Et à chaque fois lui rappelaient
La fessée qu’elles avaient pensée
Ce soir lui administrer.
Mais ne vous y méprenez pas,
Ce chenapan ne cèdera pas.
Pendant qu’il discutait,
Ses instruments il préparait.
Vous voulez sévèrement me punir ?
Les instruments je vais ramollir.
Il les trempa dans un produit,
Et attendit toute la nuit.
Les instruments bien attendris,
Chez ses fesseuses il se rendit.
N’y voyant que du feu,
Elles commencèrent toute deux.
Grand frère gémissait,
Feignant la sévérité,
Des coups que lui portaient,
Sa fesseuse concentrée.
L’histoire ne raconte pas,
Ce qui en réalité se passa,
Car seul la vérité
Appartient à ceux qui ont joué.
[1] Dans le sens de pas sûr de lui.
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Sur mon cahier d’écolier, …
J’ai esquissé une fessée.
Fessée reçue pour insolence,
De ce matin d’insouciance.
Sur le chemin de la vallée,
J’avais croisée un cantonnier.
Dans sa brouette, il déposait,
Les feuilles mortes ramassées.
L’opportunité de rigoler,
Domina bientôt ma pensée.
Qu’aller dire le cantonnier
En voyant sa brouette renversée ?
Sûre de moi et sans réfléchir,
Je le contourne sans mot dire,
Et dans un geste précis,
Je renverse l’objet du délit.
Le cantonnier entendant le bruit,
Se retourna rapidement vers lui.
Et dans un cri de tonnerre,
Vociféra mes manières.
"Sale gamine effrontée,
Sais-tu ce que tu mériterais ?"
Trop sûre de moi je le défiais,
« C’est pour votre santé ! ».
A la vitesse de l’éclair,
Le cantonnier repère
L’occasion qui lui était donnée,
De fesser une jeune effrontée.
Il me saisit alors le bras,
et vers la brouette me tira.
« Poses tes mains sur les poignées,
Je vais te donner une fessée. »
J’ai cru qu’il plaisantait
Et tentait de m’esquiver.
Sans nul doute de cette position
Je n’avais voulu la sanction.
Sur mes fesses bien exposées,
Il commençait à claquer.
Je n’osais pas crier
Au risque d’ameuter le quartier.
Pensant cela terminé,
J’allais me redresser,
Lorsque je sentis brusquement,
Ma jupe se lever tel un coup de vent.
La fessée repris sa cadence
Il disait que j’avais de la chance,
Qu’aujourd’hui sa bonne humeur,
Adoucissait sa fureur.
Les claques faisaient mal.
Espérant influer sur son mental,
J’émis quelques cris
Priant qu’il m’ait compris.
Que nenni ! je n’avais pas fini.
La culotte jusqu’au pied descendit,
M’exposant à tous les passants
Qui me regardaient en riant.
« Bravo cantonnier ! Elle a voulu
Cette fessée cul nu dans la rue. »
Le rouge aux joues me monta
Et sans mot dire à la fin me leva.
Les yeux baissés, une dernière fois,
Le cantonnier me rappela,
« Ne t’avise plus de recommencer
Si tu tiens à ta dignité. »
Je repris mon chemin
Et de mon regard malin
Je revivais cette fessée,
Qui m’avait tant émoustillé.
Si tu crois cantonnier
Que jamais je ne referai ?
C’est une douce illusion
Qui rythmera les saisons.
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