• Sainte Marie, en ce 15 août,

    J'aimerai que tu m'écoutes.

    Demain, vers la caverne, j'irai

    Recevoir une fessée commandée. 

     

    Un fesseur s'est moqué de moi,

    Et avec sa grande mauvaise foi,

    Il m'a fait faire la pire bêtise,

    qui ne puisse être admise.

     

    Sur un parking en bord de route,

    Je dois y attendre Monsieur Ours,

    Moi à bord de ma punto virile,

    Et lui de son 4x4 playmobile.

     

    Le GPS une fois de plus, 

    Me mena jusqu'à mon but. 

    Les kilomètres s'avalaient,

    Et mon coeur s'emballait. 

     

    J'étais rassurée de la qualité,

    Du fesseur que j'allais rencontré.

    Je savais que cette fois-ci,

    Y échapper serait trop gros défi.

     

    Je le suivais sagement jusqu'à la caverne,

    gara ma voiture, sortis mes balivernes

    Question pour moi, de cachet mon stress,

    De devoir bientôt lui montrer mes fesses.

     

    Dans sa moustache en U renversé,

    Il souriait de me voir si timoré. 

    Gâteau et café furent servis à table,

    et il m'expliqua l'inévitable.

     

    Dans mon for intérieur, de si bon matin

    J'implorai le Grand Lapin Crêtin

    De me protéger du plantigrade,

    Bien décidé à ne pas baisser la garde.

     

    Ce qui m'attirait le plus c'était ses mains, 

    Des pattes d'Ours, c'était certain. 

    Petites, larges et velues, elles motivaient

    La réflexion sur leur puissance dans la fessée.

     

    Une faille dans la discussion ! Je m'engouffre.

    Il s'en rend compte. C'est le gouffre.

    Et zut ! de rezut ! de flûte de ...

    Il réagit très vite ! A la seconde. 

     

    Petite promenade au bord de l'Adour,

    Oiseaux, papillons et flore, c'est court.

    Je ne cesse de penser à l'instant fessée,

    La beauté des lieux ne suffit à l'oublier.

     

    Le repas fut généreux 

    Et l'hôte gracieux. 

    La fin de la journée s'annoncée,

    Il était leur de payer.

     

    Une chaise dans le salon,

    Attendait son patron.

    Il s'assit et d'un geste déterminé,

    Me fit signe de m'allonger.

     

    Le ventre se noue, je respire vite,

    Je m'accroche aux stalactites.

    "Allez ! Dépêches-toi à t'allonger

    sur mes genoux, maintenant tu dois payer.

     

    Les claques s'abattent sur mes fesses

    levant ma belle robe blanche sans cesse.

    Le tissus une fois bien tassé,

    me fut totalement retiré.

     

    La fessée à durée

    et les larmes montées.

    Voyant que c'était trop dur,

    il me mit au coin du mur. 

     

    Mais trop indisciplinée j'étais,

    Et près du bureau, me fit déplacer,

    A genoux et mains sur la tête,

    Je devais attendre qu'il arrête.

     

    Le bruit de la frappe sur le clavier, 

    Montrer une discussion animée

    Et moi, j'étais punie et ne pouvais

    A mon gré, aussi avec eux discuté. 

     

    La punition est terminée,

    Nous partons déjeuner.

    Monsieur Ours est satisfait

    Pour lui la faute est payée.

     

    Le week-end s'est terminé

    Par quelques petites fessées

    Pour des instruments qui s'envolaient

    Se cacher sous le buffet.

     

    J'ai bien rigolé

    et j'ai beaucoup aimé

    Et des bêtises j'en referai,

    Promis, je reviendrai. 

     

     

     

     


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  • Pour avoir chambré les coupains dans la cabane secrète, en les traitant de vieux (C'était juste pour rire en plus), et bien, eux ont estimé que je méritais une sanction. Et après une concertation entre les fesseuses présentes bien habituées à trouver les punitions qui vous rend la vie difficile, j'ai eu ceci.

    Battles :

    Descriptions : Poème. Micaiah, tu devras rédiger un poème sur le thème du respect et de la conséquence de son non-respect en y incorporant les mots suivants : 

    Tolérance, amies, lapin

     Voyons voir ce qu'on peut faire maintenant.

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  • "Rien ne sert de courir il faut partir à point." A croire que Monsieur aime La Fontaine. J'étais si fière de moi hier à détourner son attention pour une fessée que j'ai nettement mérité. Le plaisir était pourtant bien au rendez-vous en dépit des conséquences. Et même si j'ai du être fessée, promis je recommencerai. he

    Quand Monsieur reprend le dessus, ça donne ceci.

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  • Monsieur à le don de me tendre le bâton. Une fois de plus, je n'ai pas résisté, même s'il m'a fallu ensuite payer. Mais entre nous, n'est-il pas là le bonheur de la pestouille que je suis. Faire les bêtises pour en rire bien plus longtemps que ne durera la sanction. ^^

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  • Il est 7 heures du matin,

    Inutile d'en faire un barratin,

    D'ici peu, ma première fessée

    M'allait être administrée.

     

    Je n'étais pas fière de moi,

    Et cette attente gâchait ma joie

    De revoir Monsieur après le déjeuner,

    Sachant ce qui m'attendait.

     

    Mais non Mon Dieu, 

    C'est Monsieur.

    Quel crétin 

    Ce lapin. 

     

    Petite piqûre de rappel

    Sur mes cours séchés à la pelle, 

    Prise de conscience qu'il me dit,

    Des conséquences sur ma vie. 

     

    Il s'installa confortablement,

    Me tendit la main, c'est le moment.

    Le corps posé sur ses genoux,

    Mains au sol, je faisais la moue.

     

    Il commença à battre la cadence,

    De claques sans somnolence.

    Le rythme était régulier

    Mais loin d'être familier. 

     

    Mes fesses chauffaient

    En la sol fa mi ré,

    Harmonie des sons,

    Faisant tomber mon pantalon.

     

    Sur ma culotte il poursuivit,

    Plus assidu et plus précis.

    Ne laissant à mon fessier,

    Aucun espace non rosé.

     

    J'aurai aimé qu'il arrête là,

    Ma main protectrice, il rejeta.

    "Une vraie fessée c'est cul nu !"

    M'a-t'il à nouveau répondu.

     

    Puis il baissa ma culotte

    Et rebelote

    Le rythme repris sa portée,

    Et sans me ménager continua la fessée.

     

    La chaleur m'envahissait,

    Sur mes cuisses et mon fessier.

    C'était une gentille fessée,

    D'après mon fesseur satisfait.

     

    Autorisée à me relever,

    J'étais à présent pardonnée.

    Le meilleur moment enfin me sourit,

    Quand il me dit : "go à la crêperie".

     

    4h durant je ne pus m'asseoir,

    Pensant à tort que l'on pouvait voir

    Ma danse bretonne sur cette chaise

    En bois massif m'en déplaise.


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