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Fessée améliorée (partie 2)
"Rien ne sert de courir il faut partir à point." A croire que Monsieur aime La Fontaine. J'étais si fière de moi hier à détourner son attention pour une fessée que j'ai nettement mérité. Le plaisir était pourtant bien au rendez-vous en dépit des conséquences. Et même si j'ai du être fessée, promis je recommencerai.
Quand Monsieur reprend le dessus, ça donne ceci.
Ce matin là, je ne rêvais pas,
Cette fois-ci j'y avais droit.
Et pour avoir osé me moquer,
C'est en améliorée qu'elle serait.
Mon déjeuner était léger,
Tant l'appétit me manquait.
Nul doute que cette fois-ci,
J'allais en payer le prix.
Un SMS fit vibrer mon portable
que j'avais posé sur ma table.
"Je suis dans les transports,
Et cette fois-ci pas de report."
Mes intestins se nouèrent,
car je n'avais guère
d'idées pour me protéger,
de l'inévitable fessée.
A la porte, il frappa,
et sans attendre, d'un pas,
je lui ouvris calmement.
"Bonjour Mica, tu vas comment ? "
Quelle question ! pensai-je
"ça va bien" répondis-je.
"Allons donc à l'essentiel,
de cette fessée référentielle".
Sur le lit, il s'assis et du doigt,
ses genoux me montra.
Sachant que l'heure était venue,
J'obéis, soumise et retenue.
Les claques tombèrent,
Qu'elle fut ma misère !
Sans interruption,
Jusqu'à ma rédemption.
J'avais beau gigoté,
De chaque côté,
Il me tenait fermement
Tout en se moquant.
"Tu n'as pas trop chaud ?
Me demanda-t-il aussitôt.
"Non je vais bien, merci"
Comprenant bien son souci.
"Je vais te soulager doucement
de ce surplus de vêtement.
Je souhaite avant tout ton confort,
Et limiter tous tes efforts.
Et c'est fort connu,
C'est fesses nues
Que nous allons poursuivre,
Cette leçon belle vouivre".
Les claques très sévères
sur mes fesses continuèrent.
J'avais hâte que ça se termine,
priant l'adorable hermine.
Enfin des caresses,
parcourent mes fesses.
"Ceci est une fessée,
mais pas encore améliorée".
Il reprit alors la fessée,
à un rythme effreiné,
Sans laisser le moindre répit
à mes fesses meurtries.
Sans broncher j'ai assumé,
Cette fessée améliorée.
La punition terminée,
Il m'autorisa à me lever.
Je me rhabillais
Les yeux baissées.
Je promis de travailler,
à fond sans relâcher.
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Commentaires
3ChipinetteMardi 15 Juillet 2014 à 13:23tu veux me faire croire que la chambre était ronde?? et les marmottes..... e chocolat!! bien sur!!
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ahhhhhhh enfin!!! super Mica!!! mais bon je vois que tu as encore échappé au coin!! et tu le méritais grandement!! on va apprendre à Monsieur comment t'y envoyer!!
Merci ma puce!!